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LA MONTAGNE D’HIVER

l’ordre d’un maître invisible, les plus belles danses d’un ballet. Ou, parfois, les skieurs imitaient le vol symétrique d’une escadrille.

Tout cela exprimait une grande joie de vivre. Une joie totale. Quand midi sonnait, le son des cloches s’égrenait sur le paysage pur, doré, lumineux, et Madeleine reprenait le chemin de la maison.