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Page:Le Nouveau chatouilleur des dames, 1880.djvu/81

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LETTRE IV

surface nacrée prit bientôt une couleur pourprée, car Suzanne ne leur épargnait pas la verge et paraissait prendre grand plaisir à rendre à Lady Lovesport la correction qu’elle venait d’en recevoir.

Je remarquai cependant qu’elle appliquait les coups avec beaucoup de jugement. Elle ne les faisait tomber sur le derrière de ma tante que lorsque celle-ci en se baissant, se trouvait assise sur les cuisses de M. Everard et que la magnifique colonne de ce dernier disparaissait tout entière dans le centre du plaisir, mais lorsqu’elle se haussait de nouveau et nous montrait les proportions superbes du membre qui se tenait en pleine érection entre ses cuisses, Suzanne arrêtait alors son bras, de crainte sans doute de laisser pénétrer au milieu d’elles quelques brins de la verge et, en touchant l’objet délicat, source de tant de délices pour les deux amants, de nuire à la parfaite jouissance de leurs voluptueux ébats.

Ce manège continua plusieurs minutes au bout desquelles ma tante cessa ses mouvements allongés qui agissaient sur le dard amoureux depuis le sommet jusqu’à la base et se laissant tomber sur la poitrine de son partenaire, elle l’entoura de ses bras et colla aussi étroitement que possible, son ventre contre le sien. Elle se mit alors à donner une succession de coups de cul violents, courts et rapides, avec toute l’énergie dont elle était capable.