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Page:Le Nouveau chatouilleur des dames, 1880.djvu/99

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LETTRE IV

cavité. Les mouvements de haut en bas s’accentuèrent de plus en plus, et enfin le folâtre Henri me disant de faire, à mon tour, bon usage des verges, s’agenouilla sur le lit et saisissant les deux amants, les retourna complètement, de sorte que les délicieuses fesses de Lady Lovesport se trouvèrent à leur tour exposées à nos regards. Je redoutais presque de blesser ces beaux mamelons d’ivoire et Henri, prétendant que je ne frappais pas à moitié assez fort, reprit les verges et se mit à l’œuvre avec une vigueur qui me parut impitoyable.

Cependant tous deux éprouvaient de suprêmes jouissances ; mais il paraît que leur plaisir était si vif qu’ils désiraient le prolonger aussi longtemps que possible, car leurs coups réciproques et leurs poussées quoique tout aussi énergiques, n’étaient plus donnés qu’à de longs intervalles. On les retourna de la même façon, à plusieurs reprises, et l’on régala leurs fessiers respectifs d’une bonne correction qui donna à leurs charmants promontoires le vif éclat du rubis.

Enfin, ne pouvant plus contenir leurs brûlants désirs, Lady Lovesport accéléra ses mouvements et M. Everard s’abandonnant à toute sa fougue amoureuse, fournit une suite rapide de coups saccadés et furibonds qui, de plus en plus énergiques et voluptueux, amenèrent promptement la crise finale et enchanteresse.