Page:Le Parnasse contemporain, II.djvu/324

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Ô Dieu ! si ce rêve que dore
Ma pensée est un fait réel,
Et si mon âme ailleurs encore
Doit prendre un vêtement charnel,
Conduis-la sur ce point extrême
De notre radieux système,
Et là, permets qu’en liberté
Elle puisse une fois connaître
Un peu de ton bonheur, grand Être,
La vie avec sérénité.