Page:Le Parnasse contemporain, II.djvu/332

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Et… Maintenant ! Adieu. Vous mentez, ô fleur nue
De mes lèvres !
De mes lèvres ! J’attends une chose inconnue,
Ou, peut-être, ignorant le mystère & vos cris,
Jetez-vous les sanglots suprêmes & meurtris
D’une enfance sentant parmi les rêveries
Se séparer enfin ses froides pierreries.