Page:Le Tombeau de Théophile Gautier, 1873.djvu/119

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Mais nous, suivant ta fuite à travers l’empyrée
Où tu bois à longs traits l’azur oriental,
Contemplateur ravi de la forme ignorée,

Nous t’irons voir monter dans les nuits de cristal ;
Et tu feras alors scintiller dans sa flamme,
Comme un œil indulgent qui rit au sol natal,

L’astre consolateur où s’enivre ton âme !

GEORGES LAFENESTRE.