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Le uoyage des Princes

Ma ſœur eſtcomme mºy degrandbouchefournie, Ellel’a eontrebau & moy deuers lescieux, I’ayde aux conſeruateurs d’appetit & de Die Et ma ſœurfaittſeruice aux cœurs deuotieux. — ©. D • : î° D’Yne eſtoffeſolide # on mefaittfaire, Pourſeruiraux endroits où lºge leſou9, Mon maiſtreme cognoiſtluy eſtre neceſſaire,. Carieluy garde tout, il metient there auſſi. — "i, ºf D. — Celuy quile faictfaire en deteſtel’ouurage, ceſtuyla quilefaictnenoudroit l’emplver & celuypourqui c’eſ, maudit de bon courage celuyquilecommande, crl’ouurage & l’ouurier. A. A. D. Tandu quel’onſechoit de la merles ondees, Ie noyois les ouuriers qui trompoientleurrepos Et attendans leſec de leurs yagues ridees, Faiſoientcheoir deleur chairſansl’offencer, les os. D. c#. D. ze feu qui rauit tout eſt cauſe que gourmande ie tire à mey la chairpour m’en r’emplir leflanc Puis mon eſprit eſteint on m’oſtela yiande, Pourpar luy meſme apres m’enredonnerleſang. A. A. •i° En nos maiſons des champs duſeruicel’on tire Dºnnprudent, c d’ynfol, auſſi d’Ynglorieux, L’yn reſerue le bon, l’autregardelepire. et letiersnefaitirienſ dn’#portépardeux.