Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/144

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mon toit. Maintenant, il ne doit plus exister de secrets entre nous. C’était sur mon désir formel que ta tante t’a soulagé et naturellement j’avais mon propre projet en vue. Je dois te dire tout d’abord que j’ai besoin moi-même d’un grand excitement pour être capable de me livrer aux délicieux combats du plaisir amoureux, et tes copulations avec ta tante m’ont excité à un point que tu ne peux t’imaginer ; tu as dû aussi remarquer que lorsque je suis très excité, c’est aux quartiers de derrière que je paie mes devoirs. Quelque incomparables que soient les fesses de ta tante, tes charmes jeunes et vierges m’avaient excité davantage. Je commençais par de légers attouchements et essayais d’y introduire mon doigt, quand je vis que tu étais trop occupé avec le trou juteux de ta tante pour observer ou même sentir ce que je faisais. Je trouvais dans ton derrière une facilité extrême pour recevoir le plaisir pendant que ton vit ou ta pine, vraiment magnifique, était capable d’opérer de son côté. C’est alors que je suggérai à ta tante de monter sur toi, et ensuite je te fis remarquer que ta tante possédait une autre ouverture qui pouvait également soulager ce que tu considérais alors comme une souffrance. Mon projet était de t’amener au même point ; avec ton innocente docilité, tu te prêtas avec beaucoup de grâce à mes désirs. Je te vis entrer aussitôt dans le splendide trou du cul de ta tante, pendant que j’insérais deux de mes doigts dans le tien. Trouvant que cela te faisait plutôt plaisir qu’autre chose, je me propo-