Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/157

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vements, enfin elle termina en déchargeant d’une manière extraordinairement abondante.

Tout cela m’avait mis moi-même dans un état absolument semblable au sien.

Je désirais retirer ma main pour y substituer ma pine, non seulement parce que je bandais énormément mais je voulais me rendre compte de l’effet que pouvait produire sur une pine un con qui venait d’être si largement ouvert. Mais ma tante retenait ma main prisonnière en la serrant tellement qu’il me fut impossible de la retirer. Je la priai de la laisser aller, parce que je voulais la foutre de suite, mais elle me supplia de recommencer encore une fois ces mouvements délicieux, qu’elle n’avait jamais ressenti jusqu’ici un tel ravissement. J’accédai à son désir et jamais de ma vie je n’ai assisté à une scène de pareille luxure. Je l’aidai à faire sa décharge finale en lui introduisant deux doigts dans le trou du cul.

Jamais je n’oublierai l’étreinte qu’elle fit subir à ma main pendant qu’elle déchargea. Cela me fit positivement mal et donnait une idée de la passion de son tempérament. Elle termina avec une telle fureur d’excitement que je crus qu’elle s’était tout à fait évanouie ; cependant, ses étreintes continuaient toujours. Elle fut un assez long temps avant de recouvrer ses sens, pendant que ma main me faisait souffrir et que ma pine bandait à éclater ; à la fin elle s’écria :

— Oh ! où suis-je ? Je viens du ciel !

— Chère tante, lui répondis-je, laisse-moi reti-