Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/159

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tinua de la fourgonner pendant la pose produite par sa décharge, car elle m’avait alors appris que c’était pour elle un plaisir exquis. Mais elle revint rapidement à sa luxure, s’arrêtant subitement, elle me dit :

— Charles, mon chéri, déconne et encule-moi.

Excitée par l’excès de ses désirs, elle se retourna avec une grande agilité, en un instant je me trouvai derrière elle, et comme ma pine était encore toute mouillée du foutre dont je l’avais complètement inondée auparavant et dont le divin petit orifice avait aussi reçu sa part, je n’eus aucune difficulté, en poussant fortement, mais non brutalement, à réunir mon ventre à son énorme fessier. Elle soupira profondément avec délices quand elle sentit que tout était entré et commença à se trémousser de tous côtés, pendant que je restais immobile à contempler la superbe beauté de ces deux sphères dans le jeu de la passion.

Ma tante devint furieuse de luxure ; avec sa main elle branlait frénétiquement son con et son clitoris ; elle me pria d’opérer, mais après seulement deux ou trois coups de cul, la chère créature déchargea à torrents. Je m’arrêtai un peu pour retenir ma propre décharge, mais je faisais palpiter ma pine à l’intérieur, et ma tante répondait de la manière la plus délicieuse à ces palpitations ; cela dura seulement une ou deux minutes, car ma propre passion m’entraîna à une action vigoureuse ; ma chère tante seconda mes mouvements qui devinrent rapides et furieux jusqu’au moment où