Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/161

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ses tétons, elle tourna vers moi sa ravissante figure, nos lèvres se collèrent ensemble dans un délicieux baiser d’amour, pendant que mon nez reniflait la bonne odeur qui s’échappait de dessous elle. Quand elle eut fini, elle me pria de lui donner un linge pour s’essuyer.

— Non, non, ma tante chérie, rien de tout cela, mets-toi seulement à quatre pattes sur les genoux et je vais lécher le divin orifice et l’approprier avec ma langue.

Elle rit, m’embrassa et me dit que j’étais un amour d’enfant, bien suivant son cœur, mais qu’elle pouvait à peine s’imaginer comment j’avais déjà acquis les goûts de mon oncle, le pasteur, qui adorait ces pratiques. Elle se mit donc à quatre pattes, son beau cul élevé au-dessus du pot, sa tête reposant sur le plancher, elle me présenta ainsi ses immenses fesses parfaitement ouvertes. Je poussai le pot de côté ; me mis moi-même sur mes mains et mes genoux, et embrassant le petit orifice, je le léchai jusqu’à ce qu’il fût très propre ; puis introduisant ma langue dedans aussi loin que je pus, je tournai et retournai à la grande joie de ma tante dont les passions furent de suite allumées, car elle commença à remuer son derrière de droite et de gauche. J’enfonçai mon pouce dans son con et la branlai jusqu’à ce qu’elle eût déchargé.

Cependant, mon propre membre bandait à tout casser et palpitait de désirs, aussi relevant seulement le corps, je l’approchai du petit orifice rose que je venais de lécher et, au grand plaisir de ma