Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/283

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très raide et très excité ; je chatouillai avec les doigts de l’autre main, un de ses larges et durs tétons. Elle devint rapidement folle de désirs et tortilla son derrière sur ma pine bien tendue ; je restai tranquille, attendant que sa passion l’oblige à me demander de manœuvrer aussi. Je n’eus pas à attendre longtemps. Elle me pria de faire quelques mouvements doux et lents ; j’obéis, en me retirant un petit peu et en retournant de suite très lentement. Sa lubricité fut alors tout à fait enflammée. Elle me pria de me retirer plus loin et plus vite, et encore plus vite, jusqu’à ce que nous tombâmes tous deux dans un excès de luxure qui ne connut plus de bornes ; nous nous précipitâmes vers la crise finale en poussant mutuellement des cris d’agonie voluptueuse, maman surtout cria si haut que, après, je crus qu’on l’aurait entendue.

Sa jouissance fut vraiment sauvage, et lorsque j’éjaculai un torrent de foutre dans ses entrailles juste au moment où elle déchargeait elle-même, c’était plus qu’elle n’en pouvait supporter ; elle tomba en avant, m’entraînant avec elle, et s’évanouit.

J’étais moi-même trop absorbé par les délices de la jouissance pour observer ce qui arrivait ; je restai étendu, immobile et prisonnier, dans cette charmante ouverture qui m’avait donné tant de bonheur et qui me serrait très étroitement. À la fin, je m’aperçus que maman s’était évanouie tout à fait ; retirant alors ma pine en faisant un violent effort, car elle était fortement pressée et sortit en