Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/118

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cochonnes avec des mots obscènes et orduriers ; et là-dessus je dois avouer que nos chères fouteuses nous étaient supérieures.

Une demi-heure après nous étions à nouveau prêts à entrer en lice. C’était à mon tour de les enculer, mais elles demandèrent grâce pour ce jour-là. La pause du rafraîchissement leur avait donné le temps de ressentir la peine causée par le grand élargissement qu’elles avaient dû subir pour la première fois, aussi mon tour fut remis à trois jours plus tard, ce qui était le délai habituel pour leurs orgies, pour éviter des soupçons par des absences trop fréquentes ; mais cependant elles ne s’opposaient pas à ce que nous les foutions un peu séparément ; aussi nous les foutîmes chacun une fois et nous clôturâmes la séance pour ce jour-là ; elles partirent en nous embrassant passionnément et en nous assurant que leur sens étaient entièrement satisfaits.

Le comte et moi nous nous dirigeâmes à pied vers son domicile, où nous nous restaurâmes avec des grogs au whiskey ; le whiskey étant une de ses boissons favorites, et suivant son opinion, le plus capable de renouveler nos forces épuisées par ces deux charmantes créatures.

Il se félicitait de mon introduction dans ses orgies, car c’était pour lui une aide à la charge qu’il avait seul jusqu’alors de satisfaire ces fouteuses extraordinaires et par devant et par derrière.

Cependant le comte était un fouteur infatigable, mais ces deux cons insatiables l’avaient souvent

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