Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/130

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été la première initiatrice dans les plaisirs les plus secrets de l’amour.

Se trouvant, dans une telle chaleur amoureuse, on peut s’imaginer à quels excès elle se porta pour sucer, gamahucher, foutre et se faire enculer. Je n’ose pas dire combien de fois ce jour-là ni de quelles manières son joli corps m’a fait décharger ; c’est plus que je ne me serais cru capable de le faire.

Quand nous fûmes tout à fait épuisés, nous pûmes, sans nous interrompre, parler de tout ce qui s’était passé depuis le jour où je quittai la maison maternelle ; elle apprit pour la première fois mes aventures dans leurs plus petits détails.

Je lui avais donné, au moment de son mariage, un aperçu de ce qui s’était passé, mais sans détails, qu’elle était maintenant avide d’apprendre ; je lui parlai de la soi-disant séduction de mon oncle et de ma tante, ne cachant pas mes actions avec le jeune Dale, ni la possession d’Ellen et de sa mère, qui fut la dernière à se croire mon initiatrice, car, comme je le dis à ma délicieuse Frankland (je n’ai jamais pu m’habituer à l’appeler madame Nixon), j’avais suivi ses sages avis et, jusqu’au moment de posséder madame Dale, j’avais joué mon rôle de garçon innocent dans la perfection ; mais maintenant que j’étais un homme je n’avais plus recours à ce moyen.

— Vraiment, me dit-elle, et avec qui donc as-tu eu recours à d’autres moyens ?