Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/133

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de faire une bonne partie de culs tous ensemble. Après un moment d’hésitation, mon discours les mit à leur aise et, sortant ma pine bandant à tout casser, je leur dis :

— Voilà ma pine digne de vos cons exquis, qui les a tous fait jouir et qui a eu aussi beaucoup de plaisir avec eux. Donc, pas d’hésitation, laissez-la vous faire jouir encore. Qui est-ce qui veut être la première ?

Elles se mirent à rire, s’approchèrent toutes pour la tripoter, échangèrent leurs opinions à son sujet et furent d’accord pour reconnaître que c’était la plus belle qu’elles aient jamais vue.

— Ah ! maintenant que je vous ai mises à votre aise, dis-je, faisons-le donc sans cérémonie ; entièrement nus, voilà le mot d’ordre, et jouissons à en mourir.

Elles rirent, s’embrassèrent les unes les autres, reconnurent que j’avais raison et se mirent de suite à se déshabiller.

Le merveilleux et magnifique corps tout couvert de poils de ma chère Frankland les stupéfia et alluma leurs passions de tribades jusqu’à la rage, la Benson spécialement, qui se jeta sur ces superbes formes dans une extase de délices, et, comme les passions de Frankland étaient aussi très excitées, son clitoris sortait long et rouge de cette masse de poils noirs qui couvraient non seulement son ventre et son mont de Vénus, mais tous les environs de son con.

Rien ne pouvait satisfaire la Benson, si ce n’est