Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/177

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Quant aux femmes, elles ne firent que se gamahucher, ce qui était des plus excitant pour nous ;

Nous allâmes passer un jour et une nuit chez ma tante, et en route pour le continent !

Ils furent très heureux de mon mariage, qui amenait une grande fortune dans la famille ; ma chérie fit présent à ma tante d’un chèque de 25.000 francs.

Madame Dale et Hélène vinrent nous rejoindre et nous passâmes une nouvelle nuit d’orgie, dans laquelle tout le monde s’épuisa en jouissances de toutes sortes.

Nous prîmes congé de mon oncle et de ma tante, de madame Dale et d’Hélène, après déjeuner, et nous dirigeâmes vers Douvres. Nous couchâmes à l’hôtel de Birmingham, où nous jouîmes de notre première nuit de mariage tout seuls. Nous fûmes très raisonnables, cependant nous éprouvâmes tous les plaisirs de deux jeunes amoureux.

Nous nous embarquâmes le lendemain pour Calais.

La mer nous parut calme d’abord, mais elle devint très mauvaise quand nous fûmes sortis du port. Ma chère femme souffrit beaucoup ; heureusement que je ne m’étais jamais senti aussi bien, et pus ainsi apporter tous mes soins à ma chère malade. Après être débarquée, elle éprouvait encore des nausées et un fort mal de tête, aussi cette nuit nous couchâmes chacun dans un lit séparé dans la même chambre, comme c’est l’usage