Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/207

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pour bien conduire son propre hôtel ; je pensai, quand ma femme m’apprit tout cela, qu’il était fait à souhait pour nous. Même s’il n’en avait pas été ainsi, comme elle avait un caprice pour lui, d’une manière ou d’une autre il aurait fallu qu’elle le possédât.

Aussi je me prêtai à ses désirs en m’absentant soit au déjeuner, soit au dîner, sous prétexte d’aller voir quelques-uns de mes amis pas encore mariés.

Comme Carl devait toujours nous servir et qu’aucun domestique ne devait entrer, à moins qu’il ne soit sonné, ma femme avait des occasions faciles, et avec son talent de séduction, elle le posséda dès le second jour.

Il lui prouva qu’il était un admirable étalon ; il devint passionnément amoureux du splendide corps de ma femme et surtout de son con si admirable. Il devint absolument esclave du con qui l’avait attiré. Ma femme l’amena petit à petit à servir nos projets amoureux.

Une fois l’enchantement commencé, je fis un tour en Angleterre pour terminer quelques affaires urgentes, laissant avec intention toute liberté à ma femme, qui compléta sa conquête, le posséda de toutes les manières, le postillonna et finit par lui faire avouer qu’au collège il s’était livré à la pédérastie avec de jeunes élèves comme lui : mais sachant combien cela lui serait préjudiciable dans la position qu’il devait occuper, il s’était défait de ces habitudes avec les hommes, mais qu’il adorait