Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/216

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tait pour lui de visiter l’Italie et que les avantages qu’on lui offrait étaient trop beaux pour ne pas les accepter. Son père consentit et pendant dix-huit mois il fut notre fidèle compagnon, prenant part à toutes nos orgies lubriques.

Carl nous accompagna à Londres lors de notre premier retour et habita trois mois avec nous. Je racontai à la Benson et à la Egerton le bonheur de cette heureuse découverte et combien il avait augmenté les exquises jouissances que nous avions éprouvées avec les Grandvit.

Elles furent immédiatement avides de le posséder.

J’avais gardé mon logement au Temple, où Henry Dale habitait toujours, ce fut là que nous élevâmes notre autel à Vénus et que nous fîmes nos orgies.

Carl enchanta mes vieilles amies, qui n’étaient jamais lasses de le posséder soit devant, soit derrière, pendant qu’Henry ou moi leur administrions la double jouissance.

Une pine nouvelle pour une femme est la même chose qu’un con nouveau pour un homme, et excite bien davantage notre luxure. Il en était ainsi pour la jolie Benson et la charmante Egerton ; elles étaient folles de Carl, savaient qu’elles ne pourraient en jouir que fort peu de temps et tiraient de lui le plus qu’elles pouvaient.

Ma chère femme, avec cette bonté qu’elle avait pour tous, abandonna entièrement Carl à ces deux cons insatiables, se contentant de présider nos orgies, dictant à ses deux amies des poses nouvelles et