Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/246

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temps elle se fit enfiler chaque jour par tout l’équipage, les satisfaisant dans l’une ou l’autre ouverture, en ayant souvent un dans chaque orifice pendant qu’elle suçait un troisième dont elle avalait tout le foutre avec bonheur ; elle avait même pris le pucelage d’un petit mousse de douze ans, et elle déclarait que jamais de sa vie elle n’avait éprouvé d’aussi délicieuses jouissances que pendant ce voyage de six semaines.

Le comte qui s’était tordu de rire pendant qu’elle racontait ses jouissances extraordinaires dans le patois amusant du Piémont nous dit que malgré ces introductions excessives, dans les deux orifices, de pines dont quelques-unes étaient extraordinairement grosses, même après un examen des plus minutieux, on n’aurait pu s’apercevoir de la moindre altération dans ses ouvertures et que soit avec le con, soit avec le cul, elle aurait pu vous serrer la pine à vous faire mal. Elle avait une constitution exceptionnelle et des formes splendides qu’aucun excès ne put détériorer ; toujours prête pour n’importe quel nombre de pines qu’elle rendait absolument inertes, pendant qu’elle était toujours prête pour recommencer les plus grands excès de luxure aussitôt qu’elle en avait épuisé quelques-uns.

Comme suite aux confessions du comte, je vais faire maintenant le récit de la jeunesse de ma chère femme, sous forme de narration, car lorsqu’elle me la raconta, elle fut interrompue par des rencontres amoureuses aussi variées que nombreuses, pro-