Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/249

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lement de plus en plus avant, jusqu’au moment où, folle d’un tel excitement, elle ressentit le désir de la posséder au plus profond de son con avide et le pria de l’entrer plus avant et plus fortement.

Avec un pareil aiguillon à ses passions et incapable de se maîtriser plus longtemps, il brisa tous les obstacles et la dépucela complètement, la faisant souffrir beaucoup plus qu’elle ne croyait, mais cette peine fut bientôt soulagée et se changea en sensations des plus exquises.

Une fois qu’il l’eut bien foutue, il continua à l’enfiler jusqu’à l’âge de la puberté qui se déclara par l’arrivée de ses règles mensuelles avant l’âge de douze ans. Déjà, une mousse légère de petits poils frisés couvrait sa motte et son corps.

À ce moment son père lui dit qu’il devait prendre des précautions afin de ne pas lui faire un enfant ; au commencement il se retirait pour lui décharger dans la bouche, ce qu’elle adorait, mais étant devenu passionné pour son derrière qu’il branlait constamment avec le doigt, il déclara que cela dérangeait trop la position pour mettre sa pine dans sa bouche, et lui suggéra doucement de lui laisser mettre son nœud dans son trou du cul où il pourrait décharger, ce qui pouvait s’obtenir facilement en élevant son derrière à la hauteur où se trouvait son con et qu’il pourrait ainsi entrer sans être obligés de changer de position ni l’un ni l’autre. Naturellement, il arriva bientôt que non seulement le nœud, mais toute la pine se trouva