Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/56

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en ton propre fils. Oh ! laisse-moi te le faire ! Sens comme mon pauvre vit sursaute.

Ici je suis obligé de donner le propre récit d’Henry sur ce qui s’est passé.

« Je pris sa main que je portai sans grande résistance sur ma pine, mais elle la retira de suite, non sans l’avoir un peu pressée entre ses doigts, en disant :

« — Mais non, ce n’est pas possible, ce serait un inceste.

« Elle me tourna le dos, de sorte que son derrière vint se frotter contre mon ventre. Pendant qu’elle se tournait, j’avais glissé ma main en bas, relevant sa chemise, de sorte que je la sentais à cul nu. Je ne perdis pas un instant, et avant qu’elle ne fût tout à fait installée, j’approchai par derrière une pine raide de son con délicieux, et comme il était encore mouillé des décharges que le pasteur lui avait fait faire en la gamahuchant, d’un seul coup je l’enfonçai aussi loin que le permirent ses fesses et mon ventre ; en même temps, lâchant sa taille, j’approchai ma main de son con, de sorte que lorsqu’elle fit un mouvement en avant pour me déloger, je rencontrai son clitoris, excessivement raide, ce qui prouvait qu’elle était réellement très en chaleur. Cette attaque sur son clitoris lui fit faire une poussée en arrière qui m’enfonça par ce double mouvement au plus profond de son con. Je ne perdis pas de temps pour procéder à des mouvements de va et vient.

« C’en était trop pour elle, elle ne put s’empê-