Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/58

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« — Mais pas aussi grosse que celle de Charles, maman.

« — C’est vrai, mon chéri, mais c’est la raideur et non la grosseur qui donne le véritable plaisir, naturellement quand les deux sont combinées, comme chez Charles, c’est alors irrésistible.

« Pendant tout ce temps je lui pelotais le con : son clitoris que l’on sait être développé, se tenait raide et enflammé.

« — Maman chérie, comme il est gros :

« Ellen m’a dit que tu pouvais l’enfiler avec.

« — Oh ! la vilaine fille, qui raconte des mensonges !

« — Ça ne fait rien, maman, il faut que je le suce pendant que tu t’amuses avec la mienne.

« Je me tournai sur le dos avec mes talons relevés pendant que maman s’allongea sur mon ventre en sens contraire. Je suçai son clitoris tout en branlant son con, et elle suça ma pine jusqu’à ce que nous déchargeâmes tous deux et chacun lécha et suça l’amoureuse liqueur qui s’échappait de l’autre. Nous continuâmes nos caresses jusqu’à ce que ma pine montrât par sa raideur qu’elle était prête pour un nouveau combat. Maman cette fois-ci me fit mettre sur son ventre et, aussitôt qu’elle se sentit enfilée, elle croisa ses jambes sur mes reins et contribua par ses mouvements lascifs à notre jouissance mutuelle.

« Son magnifique derrière se trémoussait à l’unisson du mien, nos langues s’entrelaçaient, à la fin nous tombâmes tous deux dans l’extase finale en