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qu’à ce qu’elle en fût remise. On attendait son retour dans environ six semaines.

Cependant, comme l’hiver n’est pas la saison pour louer les appartements, j’étais le seul locataire et la plus jeune fille n’avait que moi à s’occuper.

Elle s’appelait Jane.

Elle était petite et mignonne, mais très bien faite, avec, comme je ne tardai pas à m’en assurer, de gros tétons durs et fermes et un gros derrière bien rond.

Elle était très jolie, mais avec un air de grande liberté innocente, ce qui me fit supposer qu’elle n’avait pas encore couru le risque d’un « accident ». Après une semaine écoulée, nous étions très intimes et, après l’avoir souvent complimentée sur sa jolie figure et ses belles formes, je lui prenais par-ci par-là quelques baisers dont elle se vengeait ensuite par une espèce d’impertinence innocente mais attrayante. Ce fut dans une de ces occasions où elle se défendait que je pus m’assurer de la fermeté de ses tétons et de ses fesses.

Jusqu’à ce moment, mes flirtations n’avaient pas de but déterminé, mais l’envie de toucher ces charmes cachés excita bientôt mes passions amoureuses. J’augmentais petit à petit mes compliments et mes caresses, tâtant ses tétons, pendant que je la prenais quelquefois sur mes genoux pour l’embrasser et m’apercevant alors que son derrière était bien plus développé que je ne l’aurais