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civement, mais la petite Jane avait un certain charme de jeunesse et de fraîcheur qui me la faisait souvent préférer à Anne.

Nous continuâmes ainsi pendant plusieurs semaines, jusqu’au moment où l’habitude leur fit négliger certaines précautions relatives au bruit.

La tante, quand elle n’avait pas de locataire pour occuper la chambre, couchait au-dessus de nous, et un matin, étant réveillée, quoiqu’il fît à peine jour, elle entendit nos voix, descendit et me surprit en train de foutre Anne et de gamahucher Jane qui se tenait devant elle en présentant son con à ma langue amoureuse. Un cri d’exclamation de la tante nous fit tous lever instantanément.

— Allez vous coucher, misérables coquines !

Elles s’enfuirent sans un moment d’hésitation.

Madame Nichols commença alors à me réprimander sur l’infamie de ma conduite. Je m’approchai de la porte comme pour prendre ma chemise, car j’étais entièrement nu, je fermai la porte à clef, je revins alors vers madame Nichols qui avait apparemment oublié qu’elle n’avait sur elle qu’une courte chemise, qui, non seulement laissait voir des tétons larges, blancs et fermes, mais n’arrivant qu’au milieu des jambes, découvrait des jambes remarquablement bien faites, des petits genoux, laissant deviner, en les indiquant légèrement, que dessous se trouvaient de fort belles cuisses.

Comme j’avais été interrompu au milieu d’un coup, j’avais encore ma pine dressée et affreuse-