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nous entendre sur les mesures à prendre pour pouvoir nous réunir tous ensemble et jouir de la plus grande lubricité.

— Je vois que nous l’aimons tous bien, dit-il, j’ajouterai à vos plaisirs comme vous ajouterez aux miens. Vous avez encore beaucoup à apprendre, et je suis celui qui peut vous apprendre tout ce que vous ignorez des différentes manières de jouir.

Nous le suivîmes comme il le désirait, nous nous assîmes sur un rocher où nous eûmes une longue conversation dans laquelle furent prises toutes les mesures pour nos futures jouissances. Nous convînmes de nous réunir le lendemain vers les rochers à notre heure habituelle ; lui arriverait avant nous afin de visiter la place pour voir s’il ne s’y trouve personne pouvant nous surprendre comme il l’avait fait lui-même. Pendant la nuit il réfléchirait et verrait s’il ne trouverait pas un moyen de nous réunir dans un endroit où nous pourrions nous mettre tout à fait à notre aise, c’est-à-dire entièrement nus et jouir d’une orgie de la plus délicieuse lubricité. Il nous montra où il demeurait, dans une petite au-