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notre voisinage, où il espérait que nous trouverions moyen de renouveler nos sports voluptueux que nous avions déjà savourés avec tant de délices ; à la fin, nous nous arrachâmes à ses caresses. On verra par la suite, que les événements m’ayant conduit à Londres, ce fut dans cette ville, dans son propre logement que nous pûmes renouveler ces charmantes scènes voluptueuses et mettre en pratique l’art cher à Vénus.

Nous rentrâmes à la maison, et maman fit une nouvelle annonce pour une institutrice, spécifiant qu’elle ne devait pas avoir moins de trente ans et une grande expérience pour enseigner. Il y eut de nombreuses réponses ; mais une jeune fille désirait voir maman et ses enfants avant de savoir si elle accepterait l’emploi ; elle envoyait en même temps de superbes références.

Maman fut étonnée du style de la lettre ainsi que de la demande de vouloir connaître ses élèves avant de prendre un arrangement final. Elle écrivit donc à miss Frankland de venir passer trois jours avec nous, et si sa visite était agréable aux deux par-