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anxieux de la posséder. Plus je la regardais en admirant les superbes proportions de ses formes bien développées, plus j’étais déterminé à la foutre, et le désir devenait de plus en plus violent.

À peu près vers cette époque, miss Frankland qui était devenue la grande favorite de maman, obtint la permission de prendre possession de la chambre d’invités, avec la restriction qu’elle la céderait à tout invité qui pourrait venir. Naturellement cette circonstance me fit désirer encore plus ardemment d’être dans ses bonnes grâces, attendu qu’il nous serait alors très facile de coucher ensemble.

Je décidai de la surveiller pendant qu’elle se mettrait au lit, et d’essayer d’apercevoir ses formes nues. En conséquence, je retirai le bouchon de mie de pain que j’avais mis dans le trou que j’avais fait pour voir monsieur Benson enfiler sa femme. Je restai éveillé jusqu’à ce qu’elle vint se coucher. Je la vis se déshabiller, mais je ne pus voir que ses seins nus au-dessus de sa chemise. Comme je l’ai déjà dit, ils n’étaient pas gros, mais bien séparés. Je vis qu’on ne lui