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chesse extraordinaire et la quantité de cet ornement, je parle de ses cheveux de la tête dont la profusion était telle que je n’en ai jamais vu de pareils à aucune femme. J’étais stupéfié d’étonnement et d’admiration. Elle lava son con poilu et toutes les parties environnantes, s’essuya longuement, enfila sa chemise de nuit, souffla la lumière et se coucha naturellement. J’en fis autant, mais pour m’agiter et me retourner ; à la fin, je m’endormis d’un sommeil agité, rêvant de cet admirable con couvert de poils et m’imaginant m’introduisant dans lui. Mon excitement était si grand, que j’eus le premier rêve mouillé que j’aie jamais eu. Il est inutile de dire que je rêvais à ce moment que je jouissais et déchargeais dans ce con merveilleux.

Le matin, après une pareille nuit, j’étais exténué, et je fus non seulement très distrait, mais j’étais réellement si fatigué que je ne pus faire mes devoirs.

Naturellement miss Frankland le remarqua, et n’en connaissant pas la raison, elle l’attribua à de la paresse et à une bravade de son autorité. Elle me parla très grave-