Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/157

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la salive, je sortis ma pine de son con, et, à sa grande satisfaction, je la logeai dans son trou du cul avide et si exquisement délicieux, restant alors immobile afin de ne pas décharger avant qu’Elise fût prête à en faire autant. Je sentais avec plaisir les palpitations délicieuses de son corps, qui devinrent à la fin si excitantes, que je passai une main sous son ventre, déplaça le doigt de Marie et lui branlai le clitoris moi-même pendant que Marie lui enfonçait deux doigts dans le con. Nous arrivâmes rapidement à la décharge et nous tombâmes anéantis dans toutes les extases de notre lubricité satisfaite. Comme le jour commençait à poindre, je m’arrachai à leurs tendres et charmantes caresses, regagnai ma chambre sain et sauf, et m’endormis du sommeil du juste jusque très tard dans la matinée.

Mon orgie avec mes sœurs avait tellement satisfait mes passions amoureuses, que je commençais à craindre presque la sévérité dont userait miss Frankland si je tombais sous sa main. Aussi, je fus très attentif ce jour-là et elle fut contente de moi ; comme il faisait un temps superbe, elle vint se