Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/160

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Pendant que je défaisais mon pantalon, je remarquai que miss Frankland avait tout à fait relevé ses jupons de dessous, et s’était assise avec l’intention évidente de me fouetter en me mettant en travers de ses genoux. Quand nous fûmes prêts tous deux, elle me dit d’apporter un petit tabouret près d’elle et de m’agenouiller dessus ; voulant me faire baisser sur ses genoux, elle passa un bras autour de mon corps pour me maintenir couché sur ses genoux ; découvrant alors mon derrière et s’emparant des verges qui étaient à côté d’elle, elle leva le bras et m’en appliqua un coup si violent qui non seulement me fit reculer, mais me fit pousser un cri de douleur. Les coups succédèrent aux coups, m’occasionnant d’abord une grande souffrance qui me fit encore pousser des cris de douleur ; puis, la continuation de ces coups sembla diminuer mes souffrances, et à la fin, c’est à peine si je les sentais. J’éprouvai alors des titillations et un grand excitement qui amenèrent instantanément ma pine dans toute sa vigueur. Je commençai alors à la pousser contre les cuisses de miss Frankland et à me tortiller