Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/17

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 11 —

Oh ! ma bien-aimée miss Aline, aidez-moi, je ne sais pas ce qu’il faut faire.

Sa main se glissa entre nos deux ventres et elle guida mon instrument enflammé entre les lèvres avides de son con délicieux ; je poussai et du premier coup j’enfonçai la tête ainsi que deux pouces du restant de ma pine. Au second coup je sentis un obstacle inattendu, car je ne m’étais jamais imaginé que miss Aline fût vierge. Je poussai donc plus violemment.

— Oh Charles ! mon amour ! va gentiment, tu me fais beaucoup souffrir.

Sachant que le meilleur moyen était de l’exciter par des petits coups, sans essayer de pénétrer d’un seul coup, j’agis en conséquence et elle commença à sentir les violents désirs qu’une pine aussi énorme que la mienne ne peut moins faire que d’exciter quand elle manœuvre entre les replis, doux comme le velours, d’une fente aussi étroite et aussi juteuse que la sienne. Je me maintins au poste et continuai ma manœuvre jusqu’à ce que les mouvements convulsifs de ses reins et les pressions successives des replis de son con, m’indiquèrent que la