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jusqu’au moment où, voyant ma pine reprendre sa raideur ordinaire, elle dit :

— Oh ! mon chéri, cache ça ; ce serait imprudent de recommencer. Laisse-moi la boutonner moi-même dans ton pantalon.

Se mettant à genoux et l’embrassant d’abord, elle la mit dans mon pantalon, qu’elle eut de la peine à boutonner et nous nous dirigeâmes vers la maison.

Notre conversation roula sur la chance que nous avions eue pour nos derniers combats amoureux. Elle me fit promettre de ne rien essayer de la sorte le lendemain, qu’elle essayerait d’arranger quelque chose pour le surlendemain, quoique mes sœurs fussent bien gênantes.

Je lui suggérai l’idée de m’enfermer avec elle, comme quand elle me fouettait et même, qu’elle pourrait me fouetter réellement si ça lui faisait plaisir.

Elle rit de mon idée mais dit qu’on pourrait arranger quelque histoire de ce genre. Je répondis alors :

— Je négligerai mes leçons volontairement pour vous donner une excuse.

— Nous verrons, nous verrons. Néan-