Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/41

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 35 —


durer notre plaisir le plus possible. Nous foutîmes d’une manière des plus glorieuses et des plus délicieuses, ma charmante maîtresse me donnant la plus exquise jouissance par les pressions ravissantes des replis intérieurs de son con si délicieux et si lascif.

Nous restâmes dans le ravissement longtemps après avoir déchargé, puis reprenant notre position assis, nous mîmes tout en ordre car c’était le moment où mes sœurs allaient rentrer de leur récréation.

Naturellement nous nous mîmes à causer sur le moyen de nous voir la prochaine fois. Miss Aline insista sur ce point que nous ne devions pas penser à nous revoir intimement avant trois ou quatre jours, sans quoi nous risquerions d’éveiller des soupçons qui briseraient toute notre intrigue. Quelque bon que fût ce raisonnement, je me récriai contre un tel délai et suppliai pour obtenir un rendez-vous plus rapproché.

— Ce n’est pas possible, mon enfant chéri, rappelle-toi que nous serions séparés pour toujours si on venait à savoir. En