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bras autour de sa taille et la maintins fortement pendant que ses fesses superbes et ses reins souples procuraient à mon instrument enfoncé jusqu’aux poils des mouvements lascifs et des pressions ravissantes.

J’augmentai encore au suprême degré l’excitement de ses désirs, en introduisant mon doigt dans son derrière, et nous arrivâmes tous les deux à la crise finale dans une agonie de ravissement.

Nous restâmes au moins trente minutes avant de reprendre connaissance, plongés dans les jouissances les plus complètes de nos passions satisfaites.

Miss Aline fut la première à se rappeler où elle était. Elle sauta à bas du lit, m’embrassa tendrement et me dit qu’elle devait me quitter de suite, qu’elle avait peur d’être restée déjà trop longtemps ; il était en effet près de cinq heures du matin. Je me levai du lit pour entourer de mes bras son corps charmant, pour embrasser et caresser ses seins exquis. Elle s’arracha avec peine de mes bras. Je l’accompagnai jusqu’à la porte et elle partit après m’avoir donné un baiser passionné. Je revins aussi me coucher pour