Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/70

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derrière lui donnât une grande augmentation de plaisir, pendant que mon membre viril opérait dans son con, elle ne pouvait pas encore supporter l’introduction de ma large pine. Je n’avais pas encore essayé sur Elise, si ce n’est un jour que miss Aline et Marie, se trouvant indisposées par leurs affaires, je me trouvais seul avec ma sœur, qui, se sentant prise subitement du besoin irrésistible de se soulager, eut juste le temps de se retirer derrière un buisson et de se baisser. Je restai là à l’attendre, lorsqu’elle m’appela pour me demander si j’avais du papier. J’avançai pour lui en donner ; elle était dans la position d’une personne à moitié relevée, avec ses jupes retroussées et tenues à la taille. Pendant que je lui remis le papier, mes yeux tombèrent sur ce qu’elle avait fait. Je fus étonné de la grosseur extraordinaire du morceau. Je ne fis alors aucune observation, mais cela éveilla en moi une idée qui me préoccupa beaucoup. J’avais souvent pensé au plaisir que j’avais éprouvé en enculant madame Benson, depuis, j’avais essayé d’initier miss Aline et Marie dans cette délicieuse route du plaisir,