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mère et sur sa jeune cousine. À la fin, je lui dis que, d’après ses descriptions, sa mère devait être un « bon coup », et que, si j’en avais l’occasion, je lui faciliterais l’attaque de sa cousine en foutant sa mère ; seulement il faudra lui laisser croire qu’elle prend mon pucelage : l’idée lui plut beaucoup.

Il commença à penser que, vu la grosseur énorme de ma pine, sa mère était une femme qui devait me convenir, et mon idée de faire en sorte de lui faciliter un entretien particulier avec sa cousine, fut une raison pour lui de seconder mes vues à ce sujet.

À peu près vers le milieu de l’année arriva le jour de l’anniversaire de sa naissance, et à cette occasion sa mère ne pouvait s’abstenir de le faire venir à la maison ; elle pensa que sa nièce serait bien plus en sûreté s’il amenait avec lui le neveu du pasteur, lui assurant que nous étions non seulement des compagnons d’étude, mais deux amis inséparables.

Je lui avais déjà dit que je me ferais passer pour très innocent, mais que je m’arrangerais à un moment quelconque de la journée pour que sa mère puisse apercevoir ma grosse pine, ce qui me faciliterait les voies pour l’avenir, dans le cas où le moyen ne réussirait pas immédiatement.

Son anniversaire tombait un samedi. Nous devions simplement y passer la journée et revenir le soir à la pension. En conséquence, nous arri-