Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/254

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— Saviez-vous qu’elle devait venir ?

— Oui et non. J’avais remarqué que j’avais excité ses passions lorsque par hasard je lui avais laissé voir mes immenses dimensions.

— Oui, Henry m’a raconté tout ce que vous aviez fait, mais je n’aurais pas cru cependant que ma tante serait allée vous trouver. Comment cela est-il arrivé, racontez-le moi ?

— Eh bien, si vous me promettez de ne jamais en parler à votre tante, je vous raconterai tout.

— Elle entra et me trouva endormi en apparence : elle me toucha, et voyant que je ne me réveillais pas, elle me découvrit doucement, regarda ma pine qui bandait à tout casser, la caressa, l’embrassa, et comme je n’y tenais plus, je me réveillai, me plaignant de la raideur que j’éprouvais dans cette partie, lui demandant si elle connaissait un remède pour me soulager. Elle me répondit que oui, mais que c’était un grand secret qu’elle osait à peine me confier, et si elle le faisait, elle était effrayée d’une aussi grosse et longue affaire comme cela, dont la tête dépassait encore trois largeurs de sa main, mais que si je voulais être discret, elle essaierait. Elle se coucha à côté de moi et m’apprit à l’enfiler. Je sais maintenant que vous avez eu beaucoup de plaisir à nous voir tous deux entièrement nus en pleine action. Est-ce que cela vous a bien fait plaisir, Ellen ?

— Certainement, mon cher Charles, c’était très excitant et je me sentis toute drôle par tout le