Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/268

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en même temps dans une parfaite agonie de fureur voluptueuse.

Je l’avais laissée se branler elle-même, et m’étant emparé de ses hanches, je jouissais de la vue des contorsions furieuses de son derrière provoquées par l’excessive lubricité de sa sauvage volupté.

Elle s’évanouit dans une telle extase de bonheur ; qu’elle serait tombée sur son ventre si je ne l’avais pas retenue par ses hanches, ramenant son immense derrière contre mon propre ventre. Je renversai ma tête dans une agonie de délices et brayai comme un âne, ainsi que cela m’était déjà arrivé une fois en foutant ma chère et lascive Frankland, et je sentis les trois nerfs de sa matrice m’étreindre la tête de la pine de la même manière que je l’avais déjà ressentie avec Ellen dans le bois.

En reprenant mes sens, je voulus causer avec maman, mais je m’aperçus qu’elle était complètement évanouie et tout à fait insensible, à part les mouvements convulsifs de l’intérieur de son con. Je déconnai et la couchai doucement sur le dos ; puis, apportant une cuvette pleine d’eau, une éponge, et un linge, j’ouvris ses magnifiques cuisses, j’épongeai et lavai son con, qui laissa couler une très petite quantité du foutre que je lui avais éjaculé à torrents. J’aspergeai aussi d’eau sa figure et elle revint à elle en poussant un profond soupir.

Ses premiers mots furent pour me remercier des délices que je lui avais procurées, qui étaient pour elle trop violentes, et elle se mit à pleurer nerveu-