Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/124

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Mac Callum More. Cependant c’était un avantage dans un certains sens, car avec mes deux sœurs et Ellen, nous avions tout le lot des jeunes filles, car Ellen ne se fit pas tirer l’oreille pour se joindre à nous dans nos orgies à la taverne du Lion.

De plus, notre excellent ami avait aussi de son côté un choix d’hommes et de femmes qui se joignaient à nous par deux ou trois à la fois, car nous ne pouvions pas réunir toutes ces chères créatures en même temps. En revanche, Mac Callum connaissait plusieurs jeunes ganymèdes dont les jeunes trous du cul nous soulageaient beaucoup quand les cons nous faisaient tout à fait défaut.

Nous avions donc ainsi deux catégories bien distinctes d’orgies, qui eurent l’avantage, par le changement qu’elles nous procuraient, de nous exciter davantage et de renouveler notre vigueur qui aurait pu se lasser d’avoir toujours les mêmes personnes.

Comme mes sœurs ne pouvaient venir que le dimanche, c’était un jour exclusif que nous leur consacrions entièrement ; mais, à la longue, je persuadai à Anne de se joindre à nos orgies avec Mac Callum, et dès le premier jour elle prouva qu’elle était un appoint de premier ordre à nos plaisirs.

J’ai déjà relaté qu’elle était d’un tempérament très passionné et une femme aussi lascive et voluptueuse qu’il soit possible de rencontrer, qu’elle était remarquablement belle de formes et qu’elle pouvait rendre fou de luxure les hommes et même