Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/134

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un mutuel et immédiat gamahuchage qu’avec leurs instincts de gougnottes, ces deux magnifiques et lascives créatures devinèrent être leur passion favorite, et, de suite, se mirent l’une sur l’autre, à se gougnotter mutuellement. La Egerton et moi, nous profitâmes de l’occasion pour tirer un coup délicieux, qui fut achevé avant que les deux autres aient pu satisfaire leurs passions soudaines.

La Frankland, qui était d’abord dessous, était dessus maintenant et, comme elle était agenouillée, poussant son magnifique cul pour l’approcher de la bouche de la Benson, la vue de ce trou du cul poilu m’enflamma du désir de la foutre, ma pine répondit immédiatement à ce désir, aussi, m’agenouillant par derrière, je l’introduisis dans l’ouverture bien connue et l’enculai dans la perfection, ce qui augmenta son ravissement. C’était un autre moyen de les mettre toutes à leur aise ; je les foutis et les enculai toutes jusqu’au moment où ni branlage ni suçage ne purent plus faire relever la tête à ma pine épuisée et vidée.

On peut aisément s’imaginer après cela combien elles furent heureuses de faire participer la belle Frankland à leurs orgies avec le comte. Je n’oublierai jamais la surprise et la luxure du comte lorsqu’il vit pour la première fois les formes superbes et poilues de la divine Frankland, quand elle entra dans la chambre dans toute la splendeur de sa ravissante nudité. Ces deux natures étaient faites l’une pour l’autre, sensuelles au même degré, tous deux vigoureux et infatigables