Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/144

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fîmes durer le combat excessivement longtemps, obligeant les chers réceptacles à décharger quatre ou cinq fois et nous une seule.

Après avoir savouré un certain moment les joies de cette délicieuse fouterie, nous bûmes du champagne et racontâmes des histoires cochonnes ; nous les complimentâmes surtout sur leur manière délicieuse de foutre ; sentant, nous leurs cons, elles nos pines, de nouveau prêts à recommencer, nous nous mîmes en position pour le prochain combat. Comme c’était leur première initiation aux jouissances de la double introduction, la splendide Nichols eut la première à faire son choix. Elle me choisit pour le con et, à la grande joie de Mac Callum, elle le voulut dans le cul. Anne devait se mettre par dessus nous et se faire gamahucher le con par notre ami. Nous n’éprouvâmes aucune difficulté pour nous enfoncer jusqu’aux poils dans les deux ouvertures, mais cela excita tellement la Nichols qu’un simple palpitement de nos pines, une fois bien englouties, suffit pour la faire décharger en poussant des cris comme un lapin.

Nous lui laissâmes le temps de bien savourer son bonheur, puis nous commençâmes des mouvements lents et réguliers qui rendirent bientôt la Nichols folle de luxure et la firent se pâmer dans une agonie de délices, déchargeant et poussant des cris d’extase. Nous nous arrêtâmes encore pour bien la laisser jouir pour recommencer, lorsque les étreintes de son con et de son cul nous apprirent que son appétit était revenu. Ces pauses nous per-