Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/161

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cité de ma lascive tante. Elle conduisit ensuite la Frankland (je ne puis me décider à l’appeler Nixon) à sa chambre sous prétexte de la lui montrer. Elles ne furent pas plutôt entrées qu’elle lui releva les jupons, et collant ses lèvres au merveilleux clitoris de la divine Frankland, elle lui fit rapidement lâcher son tribut au dieu obscène en s’aidant de ses doigts dont elle remplit les deux ouvertures.

Aussitôt que la rage de ma tante pour gougnotter la Frankland fut un peu calmée, elle laissa madame Nixon enlever son châle et son chapeau, puis elle réclama et obtint de suite un double gamahuchage. La Frankland consentit d’autant mieux qu’elle savait que ma tante avait déjà le meilleur de mes couilles et qu’elle avait pu se régaler d’un foutre épais et abondant dont je devais avoir inondé les deux ouvertures. Ces préliminaires terminés nous permirent de rester fort tranquilles toute l’après-midi.

Madame Dale et Ellen vinrent pour le dîner ; pendant que tout le monde s’habillait pour le repas, je me glissai dans leur chambre et je tirai deux coups délicieux, un dans chacun de leur con avide et en feu. Mon oncle s’était offert le trou du cul étroit du jeune Dale qu’il avait conduit dans cette intention, aussitôt notre arrivée, au pavillon d’été bien connu.

Nous pouvions donc tous nous régaler paisiblement de toutes les bonnes choses qui se trouvaient devant nous et à notre disposition.