Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/171

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
150


enculés après, et il était actuellement si excité que sa pine se dressait plus raide que jamais, par suite de la rougeur et des brûlantes cuissons de mon cul ; j’insistai d’abord pour enculer ma tante, qui recevait en ce moment un dernier enconnage du comte ; ce groupe incestueux termina nos orgies pour cette fois, car nous quittâmes la ville le lendemain.

Après le déjeuner du matin, je me glissai dans la chambre de madame Dale et je tirai le coup du départ avec elle et Ellen. Henry entra pendant que nous opérions. Ellen dessous gamahuchant la Dale et moi dessus lui administrant un adieu dans le cul. Henry nous arrêta un moment pour retirer Ellen et nous mettre à sa place, de manière à pouvoir, avant de partir, foutre sa charmante mère qui se trouva avoir ainsi deux pines à la fois dans le corps, ce qu’elle aimait par dessus tout.

Nous fîmes durer le plaisir aussi longtemps que notre luxure nous permit de nous retenir, et nous déchargeâmes avec la plus exquise jouissance qu’il soit possible à un cœur humain de supporter.

Au moment même où nous étions réunis chez madame Dale, ma tante était allée rejoindre le comte dans sa chambre.

Malgré cela, avec un con insatiable comme le sien, elle m’attira dans son sanctum au bas de l’escalier et se fit encore offrir une fouterie finale par mon énorme pine juste au moment de notre départ.

Henry Dale devant passer une semaine à la mai-