Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/181

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ces actions. Ils croyaient fièrement que c’était un hommage rendu à leur virilité et à la puissance de leurs charmes sur leur nouvelle conquête ; aussi étaient-ils d’autant plus lubriques, ne s’imaginant pas que c’était une scène bien préparée, montée pour plaire à d’autres et montrer leurs membres virils. Quelquefois homme et femme étaient tous deux très attrayants et je foutais ma chère Florence tout en regardant ce qui se passait.

L’endroit où nous étions assis pour voir était une petite chambre très étroite, où il y avait juste la place pour un sofa avec deux chaises de chaque côté près des trous par lesquels on regardait. Trois autres petites chambres étroites donnaient sur la même chambre d’opération.

Un jour, nous eûmes une magnifique vue d’homme superbe foutant une fillette avec une énorme pine ; cette vue nous excita énormément et nous tirâmes un coup des plus délicieux.

Nous étions tous deux agenouillés sur le canapé jouissant des plaisirs langoureux qui suivent la décharge, lorsque nous entendîmes des soupirs avec des exclamations obscènes étouffées qui partaient de l’autre côté de la légère cloison près de nous.

Nous aussi nous nous étions servis d’expressions cochonnes. J’avais murmuré à Florence combien était délicieux son con poilu et étroit et comme son cul se tortillait magnifiquement sous mes yeux pendant que je la foutais.

Nous découvrîmes alors que le couple voisin