Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/182

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nous avait entendus, car nous pouvions entendre la femme demander si les mouvements de son cul lui plaisaient autant que ceux d’à côté.

— Oh ! oui, mon ange, tu tortilles ton immense cul dans la perfection et ton con est presque trop étroit.

— Alors, fous-le avec ton énorme pine avec autant de vigueur que ton voisin.

J’eus alors une heureuse idée. Je mis mon doigt sur mes lèvres pour faire signe à Florence de ne pas bouger, je me glissai dans le passage et regardai par le trou de la serrure, par lequel on pouvait voir tout ce qui se passait dans la chambre étroite. Je vis un fort bel homme foutant une femme superbement grosse, se tenant à genoux la tête baissée et tournée vers la porte. Son cul tout nu était remarquablement joli, et elle le tortillait vraiment dans la perfection.

Je revins à notre chambre, décrivis à ma femme ce que j’avais vu et lui suggérai l’idée de leur parler à travers la cloison aussitôt qu’ils auraient fini, leur avouant que nous avions entendu tout ce qui s’était passé, comme ils avaient dû eux-mêmes nous entendre, et de leur proposer une partie carrée.

Florence sauta sur l’idée juste comme leurs soupirs et le bruit du sofa à travers la cloison annonçaient la grande crise finale.

Nous les laissâmes se reposer quelques minutes, puis nous entendîmes la femme lui dire de le lui,