Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/235

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aventures à l’étranger, tout en l’embrassant et en jouant avec elle.

Il la complimenta un soir sur ses gros tétons, les tâta, disant qu’il ne pouvait croire que ces immenses proéminences fussent réelles, s’il ne les touchait pas à même la peau. Elle lui permit de le faire, avec un peu de difficulté, mais de fil en aiguille il arriva non seulement à lui peloter les tétons, mais encore à lui tâter et branler le con, lui mettant en même temps dans la main sa pine toute raide.

Cela ne pouvait se terminer que d’une manière. Il la dépucela et, depuis, chaque nuit elle couchait avec lui. Il l’initia dans tous les excès de la volupté et finit par lui faire un enfant. Elle le dissimula le plus possible et alors, sous prétexte d’aller faire une visite à un ami à Turin, pour assister à des fêtes, il la conduisit chez une accoucheuse à qui il la confia jusqu’à sa complète délivrance.

Je dois ici mentionner que juste cinq semaines après cet événement nous les rencontrâmes à Turin pendant notre voyage de Venise en Angleterre. C’était une fille superbe. Le comte nous présenta comme ses vieux amis, avec lesquels on pouvait tout faire en commun.

Nous passâmes quinze jours ensemble pendant lesquels nous l’initiâmes à tous les mystères et aux plus folles extravagances de la luxure, et elle prouva être une élève si capable qu’elle égalait en actions et en pensées ma femme chérie, qui