Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/54

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
41


tenté d’entrer et de te violer si tu n’avais pas voulu consentir. Je me rappelai alors qu’Ellen était en train de dormir dans ton lit ; j’étais dans un tel état de chaleur que je courus vers elle, et, jetant au loin le peu de vêtements qui me couvraient, je me glissai à ses côtés et me mis à lui caresser ses parties secrètes. Elle se réveilla en disant :

— Chère tante, veux-tu que je t’en fasse autant ?

Sa main toucha alors mon membre bandé, elle jeta un cri de stupéfaction. Je lui dis alors que ce n’était que moi.

— Oh ! va-t’en tout de suite, ma tante est allée sûrement aux cabinets et va rentrer bientôt.

— Elle ne fut vraiment rassurée que lorsque je l’eus, bien convaincue que tu ne reviendrais pas de sitôt, ce à quoi je ne pus arriver qu’en la conduisant devant la porte de Charles : nous te vîmes entièrement nue, te levant et t’abaissant sur l’énorme pine de Charles. Je ne l’avais jamais vu bander et je pouvais à peine en croire mes yeux. C’était vraiment merveilleux la manière charmante dont tu te glissais à l’intérieur cette belle saucisse. Cela excita Ellen extraordinairement ainsi que moi-même. Nous retournâmes à notre chambre où le feu brûlait encore. Je la fis coucher sur le tapis devant la cheminée et lui pris là son pucelage. Elle avait vu comme l’immense pieu de Charles entrait facilement dans ta fente et elle sentait que le mien était bien plus petit ; elle ne pensait pas que cela pût lui faire du mal, aussi elle me laissa très facilement lui glisser ma pine entre les grosses