Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/69

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dont elle tortilla son derrière, je jugeai que ce second coup la fit énormément jouir. Elle l’accusa ensuite d’avoir commis le crime de séduire la jeune fille, son hôte ; mais là, je l’arrêtai en lui disant que mon cousin l’avait déjà possédée. Elle m’accusa alors à mon tour d’avoir séduit Charles, alors, je dois implorer votre pardon pour cela, je laissa échapper inconsciemment que c’était vous qui l’aviez initié et que je vous avais vue.

— Oh ! la petite sotte ! Comment as-tu pu être aussi imprudente !

— Mais, ma chère tante, il n’y a pas grand mal à cela.

La tante de Charles s’apaisa bientôt et partagea par la suite toutes nos jouissances. Elle est très passionnée, peut-être plus passionnée que vous pour me gamahucher ; elle est folle de l’énorme pine de Charles, vous envie d’avoir été la première à la posséder, et dit que si elle avait su qu’il eût une aussi énorme saucisse, elle n’aurait pu résister au plaisir de l’initier elle-même. Elle espère, grâce à moi, de devenir plus intime avec vous. Je lui ai parlé de votre magnifique clitoris, elle est avide de le gamahucher et avoue qu’elle ne sera pas heureuse tant qu’elle ne l’aura pas fait.

Cette explication fut un grand soulagement pour la veuve, qui, étant déjà très bien avec le pasteur, vit que cela irait tout seul avec sa femme et que tous ensemble ils pourraient se livrer en toute liberté à leurs orgies lubriques. Elles des-