Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/70

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cendirent pour dîner après avoir achevé leurs toilettes. Le pasteur avait raconté à sa femme tout ce qu’il avait fait à Londres, de sorte qu’après dîner les trois dames échangèrent de mutuelles confidences. Ma tante était tellement avide de voir et de sucer le gros clitoris de Mme Dale, qu’elles montèrent dans la chambre de ma tante où le pasteur les surprit au milieu de leurs opérations. Mme Dale était étendue sur le dos avec les cuisses bien écartées, pressant avec ses mains la tête de ma tante contre son con ; ma tante suçait son magnifique clitoris tout en faisant aller et venir ses doigts dans son con.

Elles étaient trop bien affairées pour remarquer l’entrée du pasteur ; ma tante était agenouillée et avait ses jupons bien relevés sur son dos. La pine du bonhomme se dressa, il s’avança, s’agenouilla aussi, se mit entre ses jambes et la foutit ainsi, lui demandant de continuer son opération sur Mme Dale. Quand il eut déchargé, il complimenta les deux dames sur la grande intimité qui venait de s’établir entre elles, disant que c’était le vœu le plus cher de son cœur. Il assura à Mme Dale que sa femme était la meilleure femme du monde et n’était jamais fâchée des infidélités qu’il lui faisait.

— Aussi je lui ai raconté mes jouissances avec vous, et il paraît que mon neveu a pris ma place pendant mon absence. Elle m’a dit que c’est vous qui avez initié Charles, et qu’il est tout à fait monstrueux quand il bande, encore plus gros que moi