Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/72

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
59

Pendant la soirée, Mme Dale me souffla tout bas de venir les rejoindre quand les domestiques se seraient retirés. J’y allai et je les foutis toutes deux trois fois, deux fois par devant et une fois par derrière, celle que je foutais gamahuchait toujours l’autre pendant l’opération.

Comme ma pine commençait à avoir besoin d’un peu de repos, Mme Dale se leva, alla ouvrir la porte qui communiquait avec la chambre de mon oncle, et l’invita à se jeter dans les bras d’Ellen, qui était très heureuse d’avoir une nouvelle expérience d’une autre pine d’homme.

Mon oncle la gamahucha galamment avant de la foutre, puis demanda à voir mon énorme pine, prétendant être absolument renversé de ses monstrueuses proportions, il se demandait comment le petit con d’Ellen avait pu l’avaler. C’était, à la vérité, un peu étroit et serré, mais la chère créature n’en avait que plus de plaisir pour cela. Avant de foutre Ellen, il demanda à Mme Dale la permission de le laisser lui-même guider dans elle cette énorme saucisse. Après avoir joui de nos premiers mouvements et se sentant suffisamment excité, il se mit en devoir d’enfiler Ellen ; cependant il eut quelques difficultés pour entrer, malgré les nombreuses libations dont je l’avais arrosée ; mais une fois qu’il fut enfoncé jusqu’aux poils, il déclara que c’était un des plus jolis petits cons qu’il ait jamais eu la bonne fortune d’enfiler. Nous procédâmes alors chacun de notre côté et, après un intervalle assez long, nous arrivâmes